
Apparence physique dans le recrutement
Les générations
- Baby Boom : 1945-1965
- X : 1965-1980 : Fidélité à tout prix, Prouver sa valeur pour progresser
- Y : 1980-2000 : Digital Natives (QVT, Sens, Worklife Balance, RSE)
- Z : > 2000 : Zappeur/Slasheur/Ultraconnecte
Chaque génération a ses spécificités ; raison pour laquelle il existe un réel enjeu de management intergénérationnel.
Aujourd’hui notamment depuis la fin d la pandémie : Marché de sélection à un marché de séduction
Société de l’image où l’apparence physique est prédominante (Instagram compte 2 milliards de users).
En parallèle, trend du « Venez comme vous êtes » et d’afficher à tout prix sa singularité (Personal Branding).
D’une part :
- Sources : JF Amadieu (le poids des apparences, la société du paraître) ou
- Statistiques : Apparence physique est le second critère de discrimination à l’embauche.
Les personnes belles ont en moyenne des revenus + importante (+ 20%) et font de plus belles carrières (prime à la beauté)
D’autre part :
Élargir le sujet. Apparence physique = communication non verbale (posture, poignée de mains, contact visuel, elocution, tonalité…)
La beauté est une construction sociale qui fluctue en fonction de l’environnement et du contexte. Beauté génère de la confiance en soi.
Ensemble des caractéristiques physiques
L’entretien d’embauche est un moment peu commun source de tensions. 2 interlocuteurs doivent convaincre / séduire en peu de temps.
Pour gérer l’incertitude et l’inconfort liés à cette situation, notre cerveau prend des raccourcis : biais cognitifs.
- Effet de halo : poids de la première impression / détail.
- Biais de similitude : On fait confiance et on est attiré par ce qui nous ressemble.
- Biais de cohérence / Biais de confirmation : notre cerveau déteste se tromper.
Une grande taille inspire confiance
Deux chercheurs américains, Timothy Judge et Daniel Cable, ont confirmé dans une étude qu’une personne mesurant 30 cm de plus qu’une autre gagne en moyenne 600 € supplémentaires par an.
Les individus de grande taille sont jugés plus compétents, sérieux et ambitieux.
l’effet corne ». Les économistes Susan Averett et Sanders Korenman ont étudié les corrélations entre obésité et salaire. Résultat : les femmes obèses gagneraient 17 % de moins que les femmes affichant un indice de masse corporelle (IMC) norma